L'esclave d'une gynarchiste fin

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il y a 9 ans

L'esclave d'une gynarchiste fin

Un roman BDSM gynarchiste qui mérite le détour pour tout soumis désireux de réellement comprendre le sens du mot esclave

Des vacances à la ferme.

Dans la semaine qui suivit, Maîtresse Éloïse, surveilla de près la guérison de son protégé. Tous les jours, à chaque matin et chaque soir, elle désinfectait et nettoyait ses plaies , et voyait à ce que les bijoux soient bien incrusté dans ses chairs. La cicatrisation avançait et bientôt la douleur cessa . Le bout de son pénis était encore un peu sensible, mais il pouvait désormais uriner sans se tordre de douleur. Lors d'une séance de nettoyage, elle lui dit, qu'ils partiraient bientôt faire un petit voyage, car disait-elle, elle voulait se reposer, et voulait profiter de l'été qui allait se terminer.

"Je vais aller faire un tour à la campagne , chez une de mes amies, et je vais t'emmener avec moi. "

"Durant cette semaine là, je te ferai découvrir de nouveaux plaisirs. Tu vas faire les bagages, et dès demain matin, on part. Je vais te faire une liste de ce que j'ai besoin, et tu prépareras un petit lunch pour la route, car nous devrons manger en chemin. La campagne te feras du bien, tu en as bien besoin. Si je veux que mon esclave reste en bonne santé , il faut bien qu'il prenne l'air quelquefois".

Pierre , fit les bagages et ramassa les affaires que Madame voulait apporter avec elle lors de son périple. Elle lui avait, en effet, préparé une longue liste de choses à faire et à nettoyer avant de partir. . Il devait aussi nettoyer la maison avant leur départ, et cela lui prit presque toute la soirée. Elle voulait partir tôt le matin et Pierre eut toutes les peines du monde à terminer les tâches qu'elle lui avait ordonné d'accomplir avant le départ. Pendant ce temps, Madame regarda la télévision et lu pendant une bonne partie de la soirée dans le salon. À l'occasion elle venait vérifier le travail de Pierre, pour s'assurer qu'il n'oubliait rien.

Elle gardait à la main sa cravache, et l'encourageait parfois du bout de son instrument. Mais Pierre était beaucoup trop surchargé de travail pour se préoccuper de la cravache. Il était en sueur, celle-ci coulait sous ses aisselles et dans la raie de son fessier. Maîtresse s'amusait du spectacle. De le voir ainsi, nu comme un ver, portant sa ceinture de chasteté à la taille, ses deux anneaux se balançant au bout de ses tétons ainsi que son tatou sur la fesse, cela lui montrait à quel point le pouvoir qu'elle détenait sur cet esclave était valorisant pour elle.

Elle était fière de son travail, et de ce qu'elle avait réalisé avec son nouvel esclave. Son vieux rêve s'était enfin concrétisé. Elle possédait son propre esclave, et pouvait l'utiliser comme bon lui semblait à sa propre guise. Pierre était exténué, et dès qu'il eût terminé de préparer les bagages et qu'il eût nettoyé la maison de fond en comble, il alla au salon, ou sa Maîtresse se prélassait dans son fauteuil favori, il entra doucement et vint s'agenouiller devant elle.

"As-tu terminé", lui demanda-t-elle.

"Oui Maîtresse, est-ce que je pourrais aller me reposer, s'il vous plait Maîtresse? J'aimerais être en forme pour voyager avec vous demain, et j'ai besoin d'une bonne nuit de sommeil."

" Tu as parfaitement raison, ma petite "LULU" , tu vas descendre dans ta cage, et je vais aller la fermer après cette émission, entres-y bien sagement, mets ta cagoule, serres la bien, et n'oublies pas les menottes, tu sais , celles de police, tu les passes derrière ton dos, attends moi je ne serai pas longue. Allez, va". Dit-elle en souriant et en le poussant gentiment du bout de son pied.

Pierre allait descendre. "Un instant", dit-elle, "tu n'aurais pas oublié quelque chose"?

Elle tendait devant elle son pied, et Pierre embrassa tendrement le pied tendu vers lui, et remercia sa Maîtresse une dernière fois avant de descendre.

"Ouste!, descend maintenant, je veux finir de regarder mon émission, et tu me déranges".

Une nouvelle page venait de tourner, Maîtresse Éloïse lui avait choisi un nouveau nom, et Pierre savait dans son for intérieur ce que cela signifiait. Il descendit au donjon et fit comme Maîtresse lui avait ordonné, referma la porte avec ses pieds derrière lui. Beaucoup plus tard, Maîtresse Éloïse vint vérifier et fermer la porte de la cage, mais son esclave dormait déjà. Elle ne le réveilla pas, elle le regarda dormir et un sourire de satisfaction et de bonheur lui vint au lèvres. Elle aimait bien son esclave et elle s'y attachait de plus en plus. Elle remonta tranquillement se coucher elle aussi.

Tôt , le lendemain matin, Maîtresse Éloïse, vint reveiller Pierre .

"Allez, debout , ma petite Lulu, " lui ordonna-t-elle.

Elle lui ordonna de se laver et de bien s'assurer qu'il était parfaitement glabre de tout poils, puis elle le laissa se débrouiller pour le déjeuner. Ils redescendirent au donjon, et Maîtresse, lui mit un collier de métal autour du cou, qu'elle referma avec un cadenas, ensuite elle lui mit un gode bien enfoncé dans son intérieur, fixé à sa ceinture de chasteté, et lui demanda de s'habiller.

Pierre dût enfiler un gilet de laine blanche, et mettre un pantalon moulant, et chausser des bottillons à talons comme ceux de nos grands mères. Elle lui donna une large ceinture de vinyle noir pour passer autour de sa taille, et il dut mettre sa perruque et se maquiller comme elle le lui avait appris.

"Wow, tu es belle à croquer, ma Lulu" dit-elle.

Elle portait pour l'occasion une tenue décontractée. Pierre s'occupa des bagages, et il les mit dans la malle de la voiture, attendit que sa Maîtresse ferme la maison, et ils partirent. Elle fit asseoir Pierre à sa droite, et elle prit le volant. Pierre n'osait demander quelle était leur destination, et attendit que Maîtresse Éloïse daigne prendre la parole la première.

"Mets la radio ", lui dit-elle. Puis elle lui demanda si ses nouveaux anneaux étaient douloureux, et s'il se sentait confortable avec ceux-ci.

Tout au long du voyage, Pierre ne dit mot, si ce n'est pour répondre à sa Maîtresse, lorsqu'elle lui donnait un ordre, ou qu'elle lui demandait de faire quelque chose. Sur la route, ils firent un arrêt pour satisfaire leurs besoins et prirent un léger repas dans une halte routière. Pierre laissa à sa Maîtresse le soin de commander le repas, et il dût s'asseoir et attendre que celle-ci daigne lui donner la permission de manger. Ils reprirent la route, et ce ne fût que tard dans la soirée qu'ils arrivèrent à destination.

Maîtresse Éloïse stationna la voiture, ouvrit la malle arrière, et ordonna à Pierre de transporter le bagages à l'intérieur. L'endroit, semblait être une ferme, car Pierre apercevait une grange, une écurie , ainsi que de nombreux autres bâtiments.

"Tu attends dehors", lui dit sa Maîtresse, "les esclaves ne sont pas autorisés à pénétrer à l'intérieur. Dépose les valises sur la galerie, quelqu'un se chargera de les monter à ma chambre".

Elle entra dans la maison, et Pierre attendit sur le perron que sa Maîtresse revienne s'occuper de lui. Près d'une heure avait passé lorsque Maîtresse Éloïse ressorti de la maison. Elle avait pris le temps de se changer, et elle avait revêtu une tenue plus légère et confortable. Elle lui passa une laisse à son collier, et le tira vers la grange, derrière elle.

Avant d'entrer, elle lui ordonna de se déshabiller complètement, puis ils entrèrent. Tout au fond, , derrière un porte, un espace avait été spécialement aménagé pour créer un genre de donjon , mais surtout pour permettre de loger des esclaves. Trois autres esclaves étaient enfermés dans des cages individuelles, à genoux ou couché sur de la paille qui leur servait de matelas.

Maîtresse Éloïse ouvrit la dernière des cages et le fit entrer. puis elle ferma la serrure par un cadenas,

Ensuite elle glissa dans un ouverture situé sous les barreaux de la porte, un bol d'eau pour la nuit. Elle tourna les talons et quitta la pièce en fermant la porte soigneusement. Malgré la noirceur, de la nuit, Pierre vit qu'il n'y avait pas de poignées sur la porte par l'intérieur. On voulait être certain que les esclaves ne cherchent pas à s'enfuir.

Pierre se coucha sur la paillasse de sa cage et essaya de dormir. Il entendait les autres esclaves qui s'agitaient dans leurs cages respectives, et il s'endormit profondément.. Tôt le lendemain, une femme vint les réveiller en frappant sur les cages avec un bâton de fer.

"Debout là-dedans", criait-elle, "allez on se lève".

Elle portait une tenue de cavalière, avec des bottes aux genoux, des éperons aux talons, et elle tenait à la main une fine cravache, qu'elle frappait à répétition sur le cuir de ses bottes. Les autres esclaves semblaient savoir de quel bois elle se chauffait , car ils ne dirent pas un mot, et se hâtèrent de sortir de leur cage. Elle fit aligner les esclaves debout face contre un mur , et elle fit une inspection minutieuse de leur personne. Elle donnait parfois un coup de cravache par çi par là, et tâta chacun de leurs postérieur, comme pour s'assurer de leur fermeté.

"Tout le monde dehors, et au galop", cria t-elle de nouveau, tous s'exécutèrent et tout le monde se retrouva dehors sous un soleil resplendissant.

Elle nous dirigea vers une auge de bois dans la cour , et les esclaves durent s'agenouiller et boire tous ensemble en lapant ,dans l'auge. Lorsque tous eurent terminé , on revint devant le bâtiment, et la femme leur ordonna de se tenir droit, et de ne plus bouger.

Maîtresse Éloïse arriva , avec d'autres Maîtres et Maîtresses , et elle se dirigea vers Pierre, et lui dit , " ma belle petite LULU, pour aujourd'hui je vais commencer tout doucement, et je vais me faire aider par Maîtresse Star, elle saura mieux que moi ce qui te conviendra pour ton entraînement. Mais je vais tenter d'apprendre moi aussi.

Maîtresse Star vint la trouver, elle regarda Pierre, lui ouvrit la bouche, examina ses dents, son cul , ses muscles, ses pieds, et se tourna vers Maîtresse Éloïse, et dit, " je crois qu'il fera très bien l'affaire, il est en bonne forme, et il est bâti solide". " On va commencer par lui mettre un mors, et puis je vais te montrer comment le diriger avec les rênes.

Elle revint avec un harnais de tête, un mors de caoutchouc, et une paire de rênes. Elle fixa le tout sur la tête de Pierre, et recula avec les rênes en main, et cria "hue Lulu". Pierre comprit que c'était à lui qu'elle s'adressait, et avança tranquillement. Il sentit claquer les rênes sur son dos, et il prit de la vitesse, mais elle tira soudain le rêne droit, et il faillit s'arracher la joue et il tourna malgré lui dans la direction indiquée.

" Voilà comment il faut faire", dit-elle à Maîtresse Éloïse, " tu dois constamment avoir le contrôle, c'est toi qui commande , et qui dirige".

Elle tira d'un coup sec sur les deux rênes et Pierre dût s'arrêter pile, car les mors lui auraient arraché la commissure des lèvres.

" À ton tour maintenant, et ne te gênes pas , il lui faut de l'autorité, sans cela il finira par te contrôler".

" Fais le tourner dans la cour, dans un sens et dans l'autre, puis tu le fait arrêter, repartir, et ainsi de suite, jusqu'à ce qu'il ait bien compris .

Ensuite on lui mettra un vrai harnais. et on le fera trotter, et je lui apprendrai à marcher comme un vrai poney.

Tout l'avant midi, Pierre se pratiqua à marcher et à tourner dans la cour de la grange. Sa bouche lui faisait mal, car le mors tirait continuellement sur ses lèvres, et il ne pouvait fermer la boucher ni le recracher. Maîtresse Éloïse, semblait beaucoup s'amuser, et elle prenait de plus en plus de plaisir à le faire arrêter, brusquement, et devenait plus stricte avec les rênes. Le jeu cessa pour le dîner et Pierre put enfin se reposer quelque peu. On lui apporta pour dîner un sac de moulée dilué dans de l'eau, et on le conduisit à l'auge pour qu'il puisse se désaltérer.

Après le dîner, Maîtresse Star, revint et lui fit passer un harnais, qui lui entourait la taille, lui passait entre les fesses et lui remontait dans le dos jusqu'au cou par un collier, sur le devant du torse une large bande de cuir de laquelle partait d'autres lisières de cuir qui lui ceignaient tout le corps et les bras.

Lorsque tout fut bien mis en place, et que le harnais fut bien serré, les bras de Pierre se retrouvèrent fixés au harnais, et il lui était impossible de les utiliser et de les bouger. Ensuite , elle lui passa un harnais sur la tête, mais celui-ci cette fois était retenu au collier du harnais, et portait des oeillères de chaque coté de son visage, ce qui l'empêchait de voir de chaque coté de lui, il ne pouvait que regarder devant lui.

" Les oeillères " dit-elle, "vont l'empêcher d'être distrait par ce qui se passe ailleurs, cela le forcera à se concentrer sur ce que tu lui demandes. le mors dans sa bouche deviendra ses yeux, et tes yeux. " Je vais lui mettre un mors plus sévère, ainsi , il sera très obéissant à tes ordres, tu verras".

Elle ouvrit la bouche de Pierre, et y cala profondément un mors de métal froid, et lui passa la langue entre les deux parties du mors dans sa bouche. Cela lui touchait presque le fond de la gorge, et il pouvait le recracher, ni parler, car sa langue ne parvenait plus à bouger. Elle fixa solidement le mors par une lanière sous son menton et d'autres qui lui passaient de chaque coté de son nez, pour se rejoindre sur son front et ensuite se rattacher à son harnais de tête. Puis elle poussa le mors dans sa bouche en le rattachant derrière son cou à des anneaux à son collier, ce qui le forçait à garder le menton relevé et le cou bien droit.

"Tu vois", dit-elle , "les oeillets de chaque coté du mors", tu vas y fixer les rênes, c'est par là que tu vas le diriger. Comme il ne peut plus baisser ni tourner la tête, c'est à toi de lui montrer ou il doit aller, et s'il se rebiffe, tu n'as qu'a`tirer sur les rênes, et crois moi le mors qu'il porte le rappellera immédiatement à l'ordre ".

" J'aimerais que tu le fasses galoper un peu, et ensuite tu le feras aussi trotter" , " je reviendrai pour voir comment tu te débrouilles".

Maîtresse Éloïse, prit les rênes, et conduisit Pierre dans une arène à l'intérieur d'un grand carrousel, elle saisi en passant un long fouet, et tenant les rênes à bout de bras, elle ordonna à Pierre de commencer à marcher, elle se tenait derrière lui pour débuter, et au fur et à mesure elle lui donna de plus en plus de jeu. À chaque fois que Pierre faisait un mauvais geste , ou qu'il n'anticipait pas assez les désirs de sa Maîtresse, un cou de fouet sur la croupe venait le ramener à l'ordre, et son mors claquait douloureusement dans sa bouche. Le métal du mors tapait durement sur le palais supérieur,et comme il ne pouvait le recracher, il devait absolument alors, suivre la direction voulue sans quoi, le mors lui arracherait la langue et briserait son palais en lui déchirant le coin des lèvres, il avait donc tout intérêt à réagir adéquatement à chacune des commandes données sur le mors.

Pierre commençait à comprendre et à sentir le pouvoir des mors et il abdiqua totalement devant cet intrus dans sa bouche, il chercha donc à prévoir et à attendre sagement chacune des secousses que sa Maîtresse donnait à ses rênes, et à obéir immédiatement afin de ne pas souffrir inutilement . Maîtresse Eloïse prit un moment de repos, et Maîtresse Star, prit sa relève.

"Allez Lulu, maintenant on va voir ce dont tu es capable", le fouet frappa sèchement ses fesses, et Pierre se mit en route. Il détala comme le vent, et son entraîneuse en resta agréablement surprise, mais elle se prit au jeu, et tout en demeurant tout au centre de l'arène, elle fit galoper Pierre de plus en plus rapidement tout autour d'elle. Elle l'incitait avec le fouet, sur les jarrets, les fesses , son dos et sur les cuisses, jusqu'à ce qu'il s'écroule de fatigue sur le sol sablonneux de l'arène.

Il bavait et suait à grosses gouttes, mais Maîtresse Star lui intima l'ordre de se relever et de continuer encore. "Allez Lulu , on n'a pas terminé " elle le frappa à plusieurs reprises, et tira sur ses rêves pour le forcer à se relever, et malgré lui, Pierre dut reprendre son entrainement.

Mais cette fois , il ne dut que trotter doucement, et faire de nombreuses haltes, repartir, arrêter encore, tourner à gauche , à droite, marcher droit devant, et reculer droit derrière aussi. Elle maniait les rênes avec dextérité, et aussi le fouet. Elle savait ou et quand frapper, et Pierre en sentait la brûlure, que quand il ne réagissait pas comme elle l'entendait.

Elle se tourna vers Maîtresse Éloïse, et dit " voila, ce sera assez pour aujourd'hui, demain on passera à autre chose, tu vas aller le brosser et le nettoyer, tu lui donneras de l'eau, et tu le feras se reposer, avant de le nourrir".

" En tant que propriétaire , c'est à toi de voir à ce qu'elle se sente bien, et qu'elle soit en bonne forme. Pour la laver , tu prendra le boyau dans la grange et tu l'arrosera copieusement, ensuite nettoie lui bien les fesses, tu lui enlèves son harnais, et après je vais t'aider à lui passer son licou.

Maîtresse Éloïse conduisit sa jument dans la grange, la lava à l'eau froide et la fit entrer dans une stalle avec de la paille fraîche sur le sol. Elle lui enleva ensuite son harnais, et lui donna de l'eau fraîche dans une gamelle fixée au mur de la stalle, à la hauteur de sa bouche.

Maîtresse Star arriva et elle débarrassa Pierre de son harnais de tête, mais lui laissa son collier, et puis elle prit un licou, et une bride en gros cuir épais qu'elle cadenassa sur son cou en la lui passa sur la tête et l'attacha à une longue chaine qu'elle cadenassa encore à un anneau fixé au mur de la stalle devant lui.

Ainsi Pierre ne pouvait sortir de la stalle, ni enlever sa bride, car tout était bien cadenassé et barré. Maîtresse Éloïse ferma la porte du box, emplit son auge de moulée la lui donna et elle laissa son esclave à lui-même pour la nuit. Pierre qui avait très faim dut se résoudre encore une fois à manger la moulée, car il sentait que ce sera là ,sa seule nourriture pour la durée de son séjour dans cette écurie. Cela avait un goût de céréale, et lui rappelait son époque de vie libre. Il mâchouillât cette nourriture sans grand intérêt, et bu surtout beaucoup d'eau, car en fait il avait très soif, et il était totalement déshydraté.

Il avait mal aux jambes, et tout son corps était endolori. L'eau lui fit du bien et soulagea la douleur dans sa bouche causé par le mors. Il se coucha dans la paille , pour dormir, mais une envie urgente le prit,et malgré les sons qu'il parvenait à proférer malgré la bride dans sa bouche et sous sa gorge, personne ne vint, et il dû défèquer et uriner à même la paille de son box .

Il se coucha tout de même, en prenant soin de ne pas se salir avec ses selles, et s'endormit jusqu'au petit matin. Le soleil qui filtrait à travers une fenêtre le réveilla , et bientôt Maîtresse Éloïse vint le chercher pour le mener dans un enclos derrière la grange avec d'autres esclaves portant comme lui une bride et un licou. Elle le laissa, ferma la barrière du corral, et retourna déjeuner.

Un homme de service surveillait les esclaves, afin qu'ils ne tentent pas de se sauver, Il tenait ;a la main un bâton électrique, et malheur à celui ou à celle qui aurait tenté de se soustraire à sa surveillance.

Un peu plus tard, Maîtresse Star et Maîtresse Éloïse s'amenèrent et chacune d'elles se prit un esclave pour les ramener au carrousel.

Elles passèrent à chacun des rênes, et tous les quatre prirent le chemin du carrousel. Maîtresse Éloïse prit Pierre, bien sûr et Maîtresse Star s'occupa de l'autre.

"Aujourd'hui on va le chausser adéquatement, Eloïse, un bon cheval doit porter de bon fers pour bien trotter, tu vas aller dans l'armoire, et me ramener les bottes en cuir, celles avec les fers. et je vais te montrer comment les lui mettre".

Maîtresse Éloïse revint avec les dites bottes, et Maîtresse Star fit agenouiller Pierre, à quatre pattes, et lui ordonna de relever les jambes en ne se portant que sur les genoux.

Elle prit de la poudre de talc, et en badigeonna les pieds et les chevilles de Pierre, elle prit ensuite une botte, et inséra le pied droit de Pierre à l'intérieur. cela semblait en fait trop petit pour son pied, mais avec de la patience et de la ténacité, elle parvint à y faire entrer tout le pied. Cela s'avéra une tâche ardue, et le pied de Pierre pouvait à peine loger à l'intérieur de la botte.

Cela semblait comme une seconde peau sur son pied et sur sa jambe. Et lorsqu'il se porterait dessus, il marcherait alors comme avec des talons hauts, mais avec les orteils placées bien à plat sur le sol. Elle passa la seconde de la même manière, et dit à Pierre , "retourne toi maintenant, et place tes mollets sur le banc et assied toi sur le sol".

Pierre fit ce qu'elle lui demandait, et vit enfin les bottes, Mais Ho! Quelle surprise, il n'y avait pas de talons aux bottes, mais un gros fer sous la semelle, un peu comme ceux des chevaux, ce qui ne les rendaient pas des plus légères. En fait , chacunes d'elles devait bien peser près d'un demi kilo. Maîtresse Star laça le devant de l'étrange chaussure. Puis refit de nouveau le laçage vers le bas en serrant plus fort puis elle remonta à nouveau , mais cette fois elle prit soin de serrer le plus fortement possible , ensuite, elle noua le lacet derrière le genoux, et rabaissa une large courroie de cuir sur le noeud du lacet, et vint en boucler la fermeture sur le devant du genou en le barrant avec un petit cadenas.

Elle céda sa place à Maîtresse Éloïse, car elle était exténué."Voila , ce qu'il faut faire, c'est à ton tour maintenant". Maîtresse Éloïse passa l,autre botte à pied gauche de Pierre , de la même façon.

" Bon , la voila ferrée pour le reste de la semaine, j'espère que l'on aura pas à les lui enlever de sitôt.

" Lève toi Lulu, et essaie de ne pas tomber par en avant". Elle soutint Pierre par le coude, et il prit conscience de la poussée que les bottes exerçaient sur son équilibre.

En effet, il ne pouvait se porter que sur les orteils et l'arche prononcée de la botte, l'obligeait à se tenir debout comme avec une chaussure à talons hauts, mais sans les talons, le poid prononcé de la chaussure, lui exigeait un effort constant à chaque pas qu'il faisait, de plus de chaque coté des bottes, à l'intérieur de la cheville et à l'extérieur, un anneau de métal pendait , pour sûrement quelques usage encore inconnu. Cela lui conférait quand même fière allure, et lui galbait la jambe. Il venait de grandir de près de dix centimètres instantanément.

" Voila pour les fers", dit Maîtresse Star, maintenant le harnais, et un bon plug, dans son croupion".

On lui passa de nouveau le harnais, on lui remit le même mors et la même bride que la veille, puis Maîtresse Star lui fixa des bracelets aux chevilles par dessus les bottes, et d'autres aux poignets. et enfin elle lui entra de force un gode dans le derrière, des crins de chevaux pendaient du bout du gode, et une fois bien installé cela pouvait faire office de queue, comme un vrai cheval et pendait entre les jambes de leur esclave jusqu'àux genoux.

" Aimerais-tu ajouter un petit extra, pour t'amuser" ?

" Quoi donc"? dit Maîtresse Éloïse.

"Attends moi, tu vas voir.

Elle revint et plaça sous le nez de Pierre un anneau qu'elle ferma sur la cloison interne de son nez. Elle serra une petite vis conçue à cet effet , qui une fois bien vissée interdisait à l'anneau de s'enlever. et fixa ensuite une petite clochette dans l'anneau. Celle -ci , dès lors , pendait sous le nez de l'esclave et tintait a chacun des mouvements de sa tête. Elle plaça ensuite d'autres clochettes identiques aux anneaux de ses seins. Elle demanda alors à Maîtresse Éloïse. "Est ce obligé qu'il porte sa ceinture de chasteté"?

" Non", répondit Maîtresse Éloïse, " " je peux lui enlever, j'ai la clé sur moi".

" Est ce qu'il porte un anneau au pénis"? " J'ai une autre clochette en réserve.

" Oui je vois" , répondit Maîtresse Éloïse. "Attends, je vais lui enlever".

On défit le harnais, et il fut dévêtu de sa ceinture. Il se retrouva le pénis à l'air et on lui remit son harnais. bien solidement. Puis Maîtresse Star lui posa la clochette au bout du pénis, bien en évidence. Pour terminer, Maîtresse Star, prit deux lanières de cuir, et les fixa de chaque coté de son harnais de tête à des anneaux situés près de ses oeillères, et les passa derrière son dos, et tira sa tête vers l'arrière, puis elle fixa sur la large ceinture autour de sa taille les deux courroies, qu'elle fixa solidement. Cela obligea Pierre à se tenir le front haut et il ne pouvait plus baisser la tête de quelques façons, et il devait constamment regarder devant lui et se tenir droit, il lui était physiquement impossible de tourner la tête non plus.

" Il est fin prêt, il ne reste plus qu'à l'atteler et à le faire pratiquer ". Dit Maîtresse Star.

"Allons, nous l'attelons au buggy"? " Oui , je crois que l'on pourrait, mais allons-y doucement pour commencer, il n'est pas habitué encore, mais je vais faire un essai pour voir", dit Maîtresse Star. " Peut-être ne pourra-t-il pas marcher comme il faut avec les fers, mais je vais essayer".

Maîtresse Star, amena Pierre près du, buggy, elle plaça les manchons du buggy de façon à ce que l'extrémité passe dans les anneaux de son harnais, de chaque coté de ses hanches, et fixa ses poignets aux manchons afin qu'il puisse les saisir, et tirer le buggy derrière lui. Elle lui laissa suffisamment de jeu pour qu'il puisse manoeuvrer ses mains et bien tenir les poignées, puis elle cadenassa les bracelets de ses poignets aux manchons.

Ainsi il devait rester en position toujours entre les deux manchons , et qu'il recule ou qu'il avance, le buggy suivrait obligatoirement derrière lui. Elle plaça ensuite une courte chaîne entre ses deux chevilles, suffisamment longue cependant pour qu'il puisse lever les genoux bien droit devant lui, mais pas assez pour lui permettre de faire de longues enjambées.

Elle plaça les rênes à son mors, et sauta dans la voiturette , s'essaya confortablement, et claqua les rênes sur son dos en criant "hue Lulu". Il avança de quelques pas, mais pas assez vite au goût de sa passagère, et il sentit la brûlure du fouet sur son derrière. Il tenta d'accélérer, mais la chaîne entre ses chevilles le restreignait dans ses mouvements.

"Lève les genoux "cria-t-elle derrière lui, et pointe tes pieds vers le sol, cela ira tout seul". Il fit comme elle lui disait, et peu à peu il commença à sautiller et à trotter de jambe en jambe. De temps à autre le fouet le ramenait à l'ordre, afin qu'il conserve le rythme, et les rênes lui indiquaient la direction à suivre. Un coup sec sur les rênes lui signifia de s'arrêter, et Maîtresse Éloïse prit place à son tour dans le buggy.

" Prends le chemin derrière l'écurie, il mène tout droit à la rivière ", dit Maîtresse Star à son amie, "cela le fera pratiquer un peu , et te permettra de profiter du paysage en même temps. Ne vas pas trop vite au début, et ne te gênes surtout pas avec le fouet, ils ne comprennent que cela, c'est la seule manière de les dresser".

Le fouet claqua, et Maîtresse Éloïse relâcha les rênes, et Pierre se mit aussitôt au trot.

"S'il prends le mors au dent, tu lâches tout", lui cria Maîtresse Star, mais déja ils étaient trop loin, et Pierre trottait vers le sentier derrière le bâtiment.

Il tenait fermement les poignées des manchons, et levait les genoux bien haut devant lui, car cela était vrai, il pouvait ainsi mieux sautiller pour trotter. Mais cela était très fatiguant, et s'il ne se concentrait pas continuellement, il perdait la cadence, et passait près de tomber à chaque fois, car la chaîne venait s'emmêler dans ses chevilles.

Les rênes le ramenaient à l'ordre, et plus souvent que nécessaire le fouet lui rappelait de ne pas ralentir. Il trotta ainsi pendant une bonne demie heure, et bientôt Maîtresse Eloïse le fit tourner dans un petit bois, et le sentier s'avéra plus difficile à trotter, elle le fit ralentir, et le mît au pas, et ce jusqu'à une clairière près de la rivière. Elle arrêta, et alla se désaltérer en s'agenouillant sur le bord , elle se pencha vers l'eau et bût à même le courant.

Elle revint vers son poney, et le tirant par les rênes , elle le fit s'agenouiller à son tour , dessèrra son mors pour lui permettre de boire à la rivière, et lorsqu'il eut avalé tout son soul, elle ressera le mors et alla attacher les rêne à un arbre, afin qu'il ne se sauve pas.

Maîtresse Eloïse s'étendit ensuite sous un grand chêne et fit une sieste. Pierre pendant ce temps dût attendre debout , toujours harnaché au buggy, que sa Maîtresse se repose. Peu à peu , des moustiques de plus en plus nombreux, se mirent à harceler Pierre , sûrement à cause de la sueur , mais cela devint bientôt intenable et il se mit à se trémousser comme un fou devant cette attaque massive. Il essaya de ruer, il balançait sa queue dans tous les sens, mais peine perdue, il dut subir son calvaire jusqu'à la fin.

Le soleil commençait à plomber sérieusement, et le retour à la ferme fût encore une fois des plus exténuant, cependant, Maîtresse Éloïse, ne le pressa pas et il pût trotter plus doucement. Il fût désarchiver et elle le conduisit dans sa stalle à l'intérieur de l'écurie. Avant de le laisser, elle lui flatta la croupe gentiment et vérifia les nombreuses piqûres de moustiques ,surtout autour de ses parties. Afin de s'assurer qu'il n'en subirait pas de fâcheuses séquelles.

Tout lui sembla sans conséquences, et elle le quitta avec un sourire aux lèvres, en riant de la mésaventure de son poney . L'après midi se passa sans que personne ne daigne s'occuper de lui, mais peu avant le souper, Maîtresse Star vint le sortir de l'écurie et elle l'attela à une grosse voiture avec à ses cotés, un autre esclave, jumelé en tandem avec lui. Le fouet claqua et tous deux se mirent à trotter essayant de se coordonner afin de pouvoir avancer sans à coup. S'ils perdaient la cadence, le fouet de Maîtresse Star venait les rappeler à l'ordre.

Elle conduisit la voiture devant la résidence principale, Maîtresse Éloïse et une autre de leur amie montèrent à l'arrière. Le fouet claqua à nouveau et tout l'équipage se mit en mouvement. Ils prirent la route, et Maîtresse Star, leur fit accélérer le pas. Les deux poneys réussirent finalement à accorder leur cadence et se mirent au trot naturellement. Tout ce que leur conductrice devait faire était de les retenir afin qu'ils ne s'emballent pas et pour ce faire elle tenait d'une main de fer les cordeaux de leurs rênes.

Ils trottèrent ainsi jusqu'à une croisée de chemin et Maîtresse Star les fit tourner vers la droite, sur une petite allée bordée de chênes et ils arrivèrent devant un petit manoir. Un homme les attendait sur le perron et leur fit signe d'entrer.

Toutes descendirent de la voiture, et Maîtresse Star conduisit ses deux poneys jusqu'à un abreuvoir dans la cour arrière, elle y attacha les rênes à un piquet tout près , et retourna dans le manoir retrouver ses amis.

Tard dans la soirée, elles firent le retour, vers la ferme, mais cette fois, la fraîcheur de la nuit, et la fatigue de leur équipée incita Maîtesse Star a rentrer rapidement. Aussi les deux esclaves durent-ils trotter le plus rapidement possible, et le fouet claquait souvent derrière eux, et leurs croupes s'en ressentaient.

Ils furent détellés sitôt leur arrivée à la ferme, et conduit jusqu'à leur stalle respective pour la nuit. Le lendemain Maîtresse Eloïse vint elle même trouver son esclave et elle lui enleva tout les gréements qui le gênait. Elle lui ordonna de se rhabiller, car elle devait maintenant rentrer en ville, le week-end était terminé. Le retour se fit sans encombres, si ce n'est que Pierre était maintenant diplomé de l'académie équestre de Madame Star. il avait passé avec brio toutes les épreuves, et Maîtresse Eloïse était fière de son esclave.

La transformation finale....

De retour chez Maîtresse Eloïse, Pierre qui avait dormi dans sa cage comme à l'habitude, rêvait de retrouver un peu de tranquillité. Il aurait bien aimé prendre un temps de repos, afin de pouvoir se libérer du joug envahissant de sa Maîtresse, mais il savait bien que cela lui serait dorénavant impossible. Il s'était engagé à obéir et à servir sa Maîtresse, et en cela, tout retour en arrière lui était devenu interdit et voire même impossible.

Il en était à songer à tout cela, lorsque sa Maîtresse vint le sortir de la cage. Elle lui passa la cagoule, lui passa des menottes derrière le dos. et lui en posa d'autres autour des chevilles, avec une chaîne entre les deux .

Toute la semaine , elle obligea son esclave à porter les chaines, et tous les soirs il dormait dans sa cage, enchaîné solidement. Cela lui paraissait quand même étrange, car Maîtresse Éloïse, ne semblait pas fâchée après lui, et se comportait envers lui comme à l'habitude.

La seule chose différente, fut la nourriture qu'elle lui donnait. Elle le gavait littéralement, il devait de plus manger toujours la totalité de sa gamelle et il n'avait plus le privilège de manger les restants de sa Maîtresse comme auparavant.

La routine avait repris son cours régulier, et peu à peu il lui semblait que son caractère se transformait, il devenait plus impatient et plus inconfortable dans sa peau, et il mettait cela sur la fatigue, et sur les exigences de son état d'esclave.

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